Maigres récoltes

Les premiers maïs doux sous serre sont délicieux. Malheureusement, j’en ai fait trop peu. Il s’agit de graines non hybrides que j’ai récolté depuis quelques années et qui donnent assez bien.

Les concombres grossissent, ils sont cultivés sur la parcelle où j’avais couché l’herbe. Pour maintenir l’herbe à plat, j’ai posé quelques morceaux de bois sec que j’avais. Ce type de culture n’évite pas de devoir supprimer les mauvaises herbes !

Dernières mandarines : sèches mais très sucrées !

Mon cerisier est bien trop petit pour me donner autant de fruit que je le voudrai, il s’agit de la variété Picotas, très bonnes !

Les physalis produisent des quantités invraisemblables de fruits !

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Commentaires

3 réponses à “Maigres récoltes”

  1. Avatar de Adrien
    Adrien

    Pour récupérer les semences d’un maïs doux, il faut laisser un ou deux pieds sécher?

    1. Avatar de Lepanneur
      Lepanneur

      1

    2. Avatar de Benoit Vandangeon
      Benoit Vandangeon

      Je ne connais pas les secrets des labos en matière de semence, donc ma réponse n’est peut être pas exacte. J’ai acheté (en 2015 ou 2016) des semences “interdites” de maïs. Il me semble que la variété était Golden Bantam. J’en avais donné à mon père également. il s’agit d’une variété datant du début du XXème siècle. Elle n’est donc pas hybride F1 ou manipulée génétiquement. Elle obéit aux lois des croisements naturels. Les graines issues des épis qui ont poussé en centre ville de Nîmes n’ont pu être pollinisées que par elles-mêmes, par conséquence elles doivent être assez fidèles. Et c’est le cas, je pense que la variabilité des épis que j’obtiens avec ces semences est imputable aux différences d’irrigation… En revanche, celles de mon père qui ont poussé à proximité de maïs F1 sont probablement croisées.

      Globalement, je suis content de cette variété et je les multiplie ainsi depuis des années.
      D’après les époux Bourguignon, les hybrides F1 sont obtenus de la manière suivante. On part d’une variété connue, on la croise avec une variété souvent assez sauvage (qui résiste bien aux maladies par exemple). On sème un grand nombre de graines, puis on procède à une sélection de cultivar proche de la variété initiale. Enfin, on opère une reproduction végétative. Comme la graine obtenue n’est pas fixée et contient des gènes du sauvage, la reproduction des semences donne pour le jardinier des résultats très aléatoires. Il est donc contraint d’acheter des semences tous les ans…
      Si quelqu’un pouvait confirmer ou pas ce raisonnement ?
      Sinon Peter a raison, un épis suffit, il faut le cueillir bien mûr (grains secs). Et conserver les graines à l’abri des rongeurs…

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