Sous la serre

Cette année, j’ai planté dans la serre quelques plantes exotiques fragiles qui résistent mal à l’extérieur. Ce sera l’occasion d’observer leur évolution dans une serre non chauffée où les températures nocturnes sont assez basses tandis qu’en journée ensoleillée elles grimpent vers les 25°C.

Le jackfruit :

Le manguier (variété pakistanaise) :

Le Lucuma :

Ananas :

Cherimoya (variété de Madère) :

Egalement, un pépino très fleurit !

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Commentaires

5 réponses à “Sous la serre”

  1. Avatar de ppmiscs

    Bonjour Benoit,
    ma curiosité se porte sur quelques légumes/fruits peu répandus chez nous, comme ceux du sud de l’Italie. La limite de l’acclimatation est parfois ténue et relative à notre position géographique. Comme toi, j’essaie depuis une saison, le ‘pépino’ et l’on voit que même proches en distance, les miens sont déjà tous gelés (à part quelques pieds réservés pour tenter bouturage et repiquage)…
    J’ai aussi tenté cette année le yacon (ou poire de terre), qui commence à être bien connu. S’agit-il d’acclimatation ? La première expérience avec trois pieds est encourageante. Mais déterrés après cette première gelée, les tubercules sont moins sucrés que celui que j’avais acheté dans une biocoop pour savoir à quoi ça ressemblaiit.
    Je le mentionne ici car ce tubercule (fruit ou légume en fonction de son assaisonnement) me semble intéressant pour les personnes crudivores. Cru : une texture entre la poire croquante (pas fondante) et le radis, avec des arômes assez discrets, et une agréable sensation de fraîcheur en bouche.
    Je pense que les miens (commandés et reçus tardivement en raison du premier confinement) ont été plantés trop tard pour se développer suffisamment et devenir sucrés.
    Je vais essayer de les utiliser en mélange de crudités, et aussi rapés…
    Le seul inconvénient que je puisse voir dans ta situation, c’est le manque de profondeur du sol en garrigue, voire la nécessité d’arroser au moins un peu. Mais ça vaut peut-être le coup d’essayer dans un bac, un peu à l’ombre ?
    J’ai lu que l’on peut hiverner les racines (à l’instar des dalhias) pour tenter de les faire repartir au printemps. Peut-être que de cette façon ils pourront passer une période plus longue en terre et prendre un peu plus de sucre ?
    à suivre…

    1. Avatar de
      Anonyme

      Bonjour,
      Je me suis simplement renseigné sur la poire de terre mais je n’ai pas encore essayé sa culture, mes reponses restent donc simplement théoriques.
      Il est recommandé de les stocker et de ne pas les consommer tout de suite, mais plutôt après Noël au minimum, car leur teneur en sucre augmente avec le temps.
      Pour les multiplier, il me semble qu’il n’y a pas d’oeil sur les tubercules, donc ce n’est pas comme une pomme de terre ou un topinambour, le planter ne donnera rien, par contre il y a de futures jeunes pousses sur le pied que vous venez de déterrer, qui peuvent être divisées pour multiplier la plante.

    2. Avatar de ppmiscs
      ppmiscs

      Je confirme. On distingue bien les tubercules de la partie racinée. En les sortant de terre quelques petits éclats de racines de sont détachés. Je vais essayer de les mettre en pot dans la véranda comme boutures, tandis que les pieds principaux sont dans un seau dans le garage et seront repiqués tels quels début mai. Effectivement, j’ai stocké la petite production pour tester le goût après au moins un mois. Je vous dirai…

    3. Avatar de Benoit Vandangeon
      Benoit Vandangeon

      Bonjour,
      J’ai l’impression que sur cette photo, la tubercule émet une racine ?
      Je ne suis pas du tout convaincu par la saveur de cette racine, mais la consommer après quelques mois de stockage est une idée. Les topinambours par exemple sont délicieux après quelques mois (lorsqu’ils sont flétris). Henri en cultivait, il n’a pas renouvelé la culture car il n’avait pas identifié d’intérêt gastronomique !

    4. Avatar de
      Anonyme

      En théorie en tout cas les tubercules seuls ne peuvent pas repousser, et on voit clairement la différence d’avec les bouts de “racines” qui, eux, repartent. Donc, petit bout de racine ou pas, je ne pense pas que le tubercule sur la photo puisse repousser… Personellement, je suis aussi encore sceptique avec le goût du tubercule, quoique je n’aie pas pu encore me décider à carrément jeter ma plante, par sentimentalisme. Peut-être trouverai-je encore comment le manger?
      (Selon ce que dit internet, le tubercule est peu calorique, alors niveau alimentation cela a sans doute peu d’intérêt comme portion importante de l’apport calorique…)

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