Voici un bref bilan de la production de mon jardin en 2018.
Pêches / nectarines : aucun fruit,
Cerises Blanchard : faible production (une quarantaine de cerises tardives),
Olives : grosse production, à 80% touchée par la mouche de l’olive,
Jujube : zéro (des fleurs, mais pas de fruits),
Kaki : zéro,
Pomme : un pommier Golden a donné 7 fruits,
Mandarines : un mandarinier a fait 6 fruits,
Pamplemousse : 2 p.,
Prune : arbre portant des fruits “mangé” par un sanglier,
Poires : zéro,
Nashi : zéro,
Avocatier : zéro,
Figues : beaucoup de figues marseillaises, quelques figues longue d’Août,
Topinambour : excellente récolte, de gros tubercules,
Tomates : bonne récolte,
Physalis : beaucoup,
Melon, Pastèque : prometteur mais les sangliers ont détruits les plants,
Maïs : idem, les sangliers ont fait des ravages,
Carotte : correcte,
Choux : zéro.
Ce bilan a de quoi décourager, mais ce n’est pas le cas ! Le chantier est encore grand, mais le jardin s’est déjà transformé : en quelques années la fertilité pointe son nez, timidement mais surement. Des arbres qui font des pousses de deux mètres (figuiers et plaqueminiers). Trois phénomènes sont à l’origine des faibles récoltes : sangliers, épisode de froid tardif (février/mars) et la jeunesse des arbres.
Je regarde ce bilan avec espoir, ces magnifiques topinambours montrent par exemple une transformation de mon sol après des apports de matière organiques (BRF principalement). L’année 2019 devrait en toute logique être prometteuse ; surtout si j’arrive à contenir les ravages des sangliers !
Laisser un commentaire