La sécheresse s’installe plus tardivement

Le mois de juin à Nîmes a été marqué par le manque de précipitation : 13.4 mm (contre 43 mm en moyenne et 66 mm l’année dernière). Paradoxalement, le jardin souffre moins de la sécheresse. C’est essentiellement dû à mon avis aux pluies abondantes du mois de mars, car le reste du printemps est sec. Le léger déficit d’ensoleillement (-10%) est également appréciable pour les plantes. Bref le tableau est plutôt positif de ce côté là et l’ensemble aurait été très réjouissant sans les nombreuses attaques de sangliers.

Source Meteociel

Les acclimateurs ont besoin d’outils puissants pour la météo et étudier le climat. J’ai trouvé un site web qui propose de comparer les climats. Je trouve cela particulièrement utile pour voir les divergences climatiques et estimer les plantes adaptables. Sur Weather Spark, je compare Nîmes, à Nice (l’un des meilleurs climat de France métropolitaine) à celui de San Diego (l’un des meilleurs spots de Californie) :
https://fr.weatherspark.com/

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Commentaires

Une réponse à “La sécheresse s’installe plus tardivement”

  1. Avatar de Lepanneur
    Lepanneur

    Comme pour la politique, le problème réside dans les extrêmes

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