Construire un mur, c’est marquer une frontière. Depuis bientôt 3 ans, je monte un mur pour me protéger des invasions de sangliers. Il a un aspect pierre sèche, mais je le maçonne quand même.
La construction de ce mur est bien plaisante, je rencontre beaucoup de passants qui ont toujours un mot gentil, un encouragement. Je me rends ainsi compte de la bienveillance populaire et du plaisir à maintenir un patrimoine auquel ils sont attachés.
Il y a quelque temps, une personne s’est arrêté en voiture et m’a offert ce livre. Je l’ai remercié, et il m’a répondu “pas de détail !” Le livre est passionnant et ses auteurs tiennent un blog :
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