Prochain challenge : Cherimoya

Voici mon prochain gros challenge : tenter de faire fructifier le chérimoya ! Je récolte les graines et les sème à tout vent.

Au centre-ville de Nîmes, j’ai deux semis en pleine terre. Ils soufflent leur première année. J’ai également des semis spontanés sous les avocatiers mais ils ne poussent pratiquement pas depuis 2 ou 3 ans tant la canopée est dense.

En garrigue, au Mazet, je les sème contre les murs. Devant le mazet, au pied de l’avocatier, quelques semis ont trois ans et atteignent environ 1,4 m. Ils ont passé le fameux mois de février 2018 où dans le jardin le thermomètre était descendu à -9°C.

Dans mon jardin de Castellar, j’ai planté quelques sujets greffés mais je n’ai pas pu les suivre (essentiellement à cause de la pandémie). Une fois que j’aurai réussi à installer des plants de cherimoya dans cette parcelle ils devraient s’y plaire car les conditions sont propices : pas de forte gelée, ni de températures trop élevées l’été. D’ailleurs, il y a d’autres spécimen dans l’amphithéâtre mentonnais.

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