La Palmeraie de Elche sera dans ma mémoire pour toujours .
Je ni suis allé qu'après avoir insisté un long moment car j'étais le seul passionné mais quel bonheur cette découverte .
Les dattiers de Elche .
Re: Les dattiers de Elche .
Une découverte .
Re: Les dattiers de Elche .
Le palmier impérial, le plus connu, est un exemplaire unique et exceptionnel en raison de sa taille et de ses six énormes stipes issus d’un seul tronc. Il reçut le nom d’impérial en hommage à l’impératrice Élisabeth d’Autriche-Hongrie, « Sissi », qui visita la palmeraie en 1894.
Habituellement, les rejets des palmiers apparaissent à la base du tronc principal au bout de 10 ou 15 ans. Dans le cas du palmier impérial, ces rejets sont non seulement nés lorsque l’arbre était âgé de plus de 60 ans, mais également à une hauteur peu commune de 1m50. Ainsi, le tronc principal continue d’alimenter les bras toujours en vie comme il l’a fait par le passé, assurant une croissance continue et homogène au fil du temps. Ce formidable candélabre à 8 branches pèse désormais plus de 10 tonnes et nécessite un carcans métallique permanent pour le soutenir.
Re: Les dattiers de Elche .
Le palmier impérial est un monsieur dattier .
Re: Les dattiers de Elche .
Les palmiers dattiers de Elche auraient un lien de parenté très proche des dattiers Iraniens tel que ======>
Les fruits du palmier dattier ‘Rabbi’
Les dattes Rabbi sont ovales et de couleur rouge-brun. Les fruits de cette variété font partie des dattes moyennement sèches. A la bonne dessication, elles comportent une teneur en eau inférieure à 15%. Ce sont donc des dattes assez sèches, comparées à Mazafati ou les classiques (non rustiques) comme Medjool et Deglet Noor, deux variétés de dattes plus « humides ». C’est aussi pour cela que l’arôme de Rabbi sera différent.
Phoenix dactylifera ‘Rabbi’, une datte iranienne
Les dattes Rabbi poussent principalement dans la province de Sistan-et-Baloutchistan, en Iran. Cette province est frontalière de l’Afghanistan et du Pakistan. C’est une régions très sèche, et même désertique. À Zahedan, l’une des grandes ville de la province, il pleut 82 mm par an, soit 9 fois moins que chez nous, en Europe de l’Ouest. Cela ne fait pas forcément de ‘Rabbi’ une datte très adaptée aux terrain secs pour autant. Là bas, les dattiers se trouvent plutôt dans les terrains bas, inondables. Le dattier supporte très bien (lorsqu’il est grand) d’avoir les pieds sous l’eau pendant une dizaine de jours. D’ailleurs, les datteraies de Sistan-et-Baloutchistan sont irriguées (comme les Medjool faites en Californie, d’ailleurs). La pluviométrie joue surtout sur le calibre des fruits. Lorsque le palmier fleurit, il y a assez d’eau dans le sol. Mais pour que les dattes atteignent un calibre minimum, il faut de l’eau au plus chaud de l’été. Tous les dattiers sont pareils de ce point de vue.
Le Palmier dattier Rabbi, une rusticité intéressante
Toujours au Sistan-et-Baloutchistan la variété ‘Rabbi’ y montre un très intéressant caractère, sa précocité. En effet, on récolte les dattes de ‘Rabbi’ dès le mois d’août. Et toujours à Zahedan, on y a déjà enregistré – 22 °C. . D’abord la température moyenne annuelle est de plus de 18 °C alors que la France moyenne est plutôt dans les 12 °C . Il peut y avoir là-bas des coups de froids intense mais toujours brefs, et dans un environnement qui se réchauffe très vite. Les palmiers se retrouvent dans les parties favorables. Ensuite, l’ensoleillement atteint là-bas 3 100 h par an. Les 2 500 heures de la côte méditerranéenne française font presque figure de placard mal éclairé en comparaison.
Les fruits du palmier dattier ‘Rabbi’
Les dattes Rabbi sont ovales et de couleur rouge-brun. Les fruits de cette variété font partie des dattes moyennement sèches. A la bonne dessication, elles comportent une teneur en eau inférieure à 15%. Ce sont donc des dattes assez sèches, comparées à Mazafati ou les classiques (non rustiques) comme Medjool et Deglet Noor, deux variétés de dattes plus « humides ». C’est aussi pour cela que l’arôme de Rabbi sera différent.
Phoenix dactylifera ‘Rabbi’, une datte iranienne
Les dattes Rabbi poussent principalement dans la province de Sistan-et-Baloutchistan, en Iran. Cette province est frontalière de l’Afghanistan et du Pakistan. C’est une régions très sèche, et même désertique. À Zahedan, l’une des grandes ville de la province, il pleut 82 mm par an, soit 9 fois moins que chez nous, en Europe de l’Ouest. Cela ne fait pas forcément de ‘Rabbi’ une datte très adaptée aux terrain secs pour autant. Là bas, les dattiers se trouvent plutôt dans les terrains bas, inondables. Le dattier supporte très bien (lorsqu’il est grand) d’avoir les pieds sous l’eau pendant une dizaine de jours. D’ailleurs, les datteraies de Sistan-et-Baloutchistan sont irriguées (comme les Medjool faites en Californie, d’ailleurs). La pluviométrie joue surtout sur le calibre des fruits. Lorsque le palmier fleurit, il y a assez d’eau dans le sol. Mais pour que les dattes atteignent un calibre minimum, il faut de l’eau au plus chaud de l’été. Tous les dattiers sont pareils de ce point de vue.
Le Palmier dattier Rabbi, une rusticité intéressante
Toujours au Sistan-et-Baloutchistan la variété ‘Rabbi’ y montre un très intéressant caractère, sa précocité. En effet, on récolte les dattes de ‘Rabbi’ dès le mois d’août. Et toujours à Zahedan, on y a déjà enregistré – 22 °C. . D’abord la température moyenne annuelle est de plus de 18 °C alors que la France moyenne est plutôt dans les 12 °C . Il peut y avoir là-bas des coups de froids intense mais toujours brefs, et dans un environnement qui se réchauffe très vite. Les palmiers se retrouvent dans les parties favorables. Ensuite, l’ensoleillement atteint là-bas 3 100 h par an. Les 2 500 heures de la côte méditerranéenne française font presque figure de placard mal éclairé en comparaison.