Il est temps de dresser un bilan de l’année passée au jardin du Mazet…
– des quantités importantes de figues d’aout (marseillaise),
– environ 100 p de Kaki sur un seul plaqueminier (non astringent),
– beaucoup de pommes Blanche d’Espagne (malheureusement, cette variété est particulièrement insipide, contrairement à ce qu’affirme le pépiniériste), quelques reinettes fabuleuses !
– 5 p avocats Criollo (contre 1 seul l’année d’avant),
– quelques mandarines (2 ou 3 kg),
– quelques goyaves fraises rouges,
– pas mal de pêches de petit calibre (greffées sur les amandiers sauvages du jardin),
– pal mal de cerises Picota,
– récolte d’olives non véreuses convenable,
– des arbouses en pagaille,
– quelques feijoa (les premiers),
– peu d’amande,
– une dizaine d’abricots,
– une demi-douzaine de figue de barbarie,
– pas de tamarillo, jujube, orange,
Au niveau des légumes :
– tomate, salade, choux, fève, radis, navet, concombres…
– des légumes sauvages : plantain, oseille, roquette, ail à trois angle…
La récolte de cette année ne suffit bien sûr pas encore à combler mes besoins. Toutefois, je note qu’au mois d’août, je me rends de moins en moins au marché ! Je constate également une chose pour laquelle on m’avait prévenu : rien ne sert à planter des dizaines d’arbres s’ils manquent d’eau. Mieux vaut en avoir qu’un seul mais bien arrosé. C’est probablement le cas du plaqueminier : sur une dizaine de plants, un seul donne abondamment, les autres ne produisent rien du tout car ils souffrent tout l’été.
Je sens également que certaines plantes vont prochainement produire de manière satisfaisante : feijoa, jujube, goyavier fraise… D’autre part, si l’hiver et le printemps ne sont pas froids je devrais enfin gouter les sapote blanches cette année !
Je dois également m’efforcer à augmenter la production de pomme, de pêche, d’abricot et d’agrume. Cette année 2022, je suis en retard dans mes travaux et je n’aurai pas encore construit ma réserve d’eau. Donc je vais passer encore une année à conserver les plantes coute que coute en trimbalant mes arrosoirs le long des pentes de ma garrigue !
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